Communication interne : un art a reconstruire
Il n’y a pas de ‘trucs et astuces’ ! Nombre de formations, de livres et de gourous, rassembleurs de foules, en communication aussi, fonctionnent pourtant avec ce slogan. Baliverne répondant à l’angoisse de ne pas maîtriser la situation. Maîtrise ? Angoisse ? Situation … humaine ? Le monde change, c’est devenu une évidence. Sauf pour les autruchiens (sic), le saut de complexité de ces dernières années -entraînant avec lui un saut d’incertitude- nous met encore plus qu’avant dans nos petits souliers. La communication, comme l’entreprise (privée ou publique) dont elle est partie intrinsèque, ne sait plus trop à quels saints (soient-ils consultants) se vouer. Du moins, ce questionnement sur l’adéquation de la communication à la société en changement se pose pour les communicateurs - dit ‘culturels creatifs’- ‘tournés vers l’avenir’ . Les ‘traditionalistes’ et ‘modernistes’, parce qu’ils n’entrent pas de plain-pied dans le (nouveau) paradigme de la société de connaissance, ne doivent quant à eux pas trop se poser de questions. Un comble peut-être pour des communicateurs ; le nez dans le guidon n’est sans doute pas l’affaire exclusive des mauvais pilotes de course.
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Communication interne : un art a reconstruire
Il n’y a pas de ‘trucs et astuces’ ! Nombre de formations, de livres et de gourous, rassembleurs de foules, en communication aussi, fonctionnent pourtant avec ce slogan. Baliverne répondant à l’angoisse de ne pas maîtriser la situation. Maîtrise ? Angoisse ? Situation … humaine ? Le monde change, c’est devenu une évidence. Sauf pour les autruchiens (sic), le saut de complexité de ces dernières années -entraînant avec lui un saut d’incertitude- nous met encore plus qu’avant dans nos petits souliers. La communication, comme l’entreprise (privée ou publique) dont elle est partie intrinsèque, ne sait plus trop à quels saints (soient-ils consultants) se vouer. Du moins, ce questionnement sur l’adéquation de la communication à la société en changement se pose pour les communicateurs - dit ‘culturels creatifs’- ‘tournés vers l’avenir’ . Les ‘traditionalistes’ et ‘modernistes’, parce qu’ils n’entrent pas de plain-pied dans le (nouveau) paradigme de la société de connaissance, ne doivent quant à eux pas trop se poser de questions. Un comble peut-être pour des communicateurs ; le nez dans le guidon n’est sans doute pas l’affaire exclusive des mauvais pilotes de course.