CORONAVIRUS. La comédie continue...
Les batteries de vaccins, les masques et les règles de distanciation n’y changeront pas grand-chose et se révèlent bien peu efficientes. Peu importe la science, ce qui compte, c’est la communication…politique !
Résumé
Les « spécialistes » – médecins, politiciens ou autres – qui pérorent depuis deux ans sur la « pandémie » - qui
est devenue endémique - font de la biologie darwinienne primaire où le « hasard » des mutations génétiques
induirait des « variants » totalement imprévisibles (et toujours moins virulents et dangereux). Ils font l’impasse totale
sur les évolutions épigénétiques des virus ARN qui mutent, surtout poussés par un « élan de vie » (une intention systémique) qui les fait s’adapter à leur milieu (et à ses défenses),dans le seul but de pouvoir s’y reproduire à long terme. Toutce qu’un virus cherche, c’est à survivre en paix, discrètement, sans être pourchassé !
Les batteries de vaccins, les masques et les règles de distanciation n’y changeront pas grand-chose et se révèlent bien
peu efficientes. De plus, la vaccination diminue le niveau collectif naturel d’immunisation : un organisme vacciné ne
cherche, logiquement, plus à développer sa propre immunité. Il y a donc de plus en plus de gens contaminés… mais
de moins en moins dangereusement, sauf en cas de grande faiblesse ou de comorbidité grave.
Peu importe la science, ce qui compte, c’est la communication… et bien des profiteurs attisent cette communication
directive. Il faut donc impérativement que les politiques et les médias cessent de faire du coronavirus leur fonds de
commerce quotidien !