Kabbale théosophique. La vision du char divin
Muriel Rojas sur le site "Arts et thérapies" : "Ce nouveau livre érudit de Marc Halévy nous invite à mesurer la prouesse du livre d'Ezéquiel: comment, en effet, parler de Dieu, le décrire, alors même qu'il est au-delà de tout concept intelligible? Comment l'approcher sans projeter sur lui notre réalité? Ezéquiel s'est appuyé sur une imagerie symbolique que Marc Halévy décrypte pour nous ramener à l'essentiel: Dieu n'est pas un concept mais une présence que l'on accueille en soi...à condition de s'être émancipé de la dualité. Un ouvrage poétique qui révèle l'intemporelle vérité imprégnant les écrits bibliques, ce qui n'est pas superflu en cette période de crise spirituelle !" Suite des trois premiers volumes "Aux sources de la Kabbale et de la Mystique juive", "Pensée hébraïque" et "Kabbale initiatique, un éclair dans l'Arbre de Vie".
Résumé
Dans la tradition mystique et ésotérique juive, la vision d’Ézéquiel du Char divin (la Merkabah en hébreu) a toujours tenu une place insigne, parallèle à la cosmogonie du livre de la Genèse (le B’rèshit en hébreu). Ces deux courants forts se répondent et se complètent.
Il y a l’homme, il y a le Divin et il y a la relation entre le
Divin et l’homme au travers de la Création, du monde, de
la Nature.
Il y a la relation entre l’homme et le Divin, qui est l’affaire
de deux livres : la Genèse et le Cantique des cantiques, et
d’un symbole majeur : l’Arbre séphirotique. Il y a l’homme
qui s’ennoblit et s’accomplit par le biais de la Torah de
Moïse.
Et il y a le Divin en soi...
La vision d’Ézéquiel tente l’impossible : dire l’indicible, raconter l’ineffable, qualifier l’inqualifiable, offrir au regard de
l’âme le Divin en soi, monté sur son char !
Les mots manquent... Alors l’image surgit, grandiose, hallucinante, extatique, illuminée...
Lorsque les mots se taisent, les symboles surgissent et font leur oeuvre initiatique !