Tisserand de la compréhension du devenir
Conférencier, expert et auteur

Introduction à la cosmogénèse

Une histoire de la genèse de notre univers … sans big-bang.

Imaginons le Réel prématériel : un sphéroïde irrégulier (un "patatoïde") à la fois accumulatif et pulsatile, fermé et fini, rempli d'énergie noire (du fait d'un processus accumulatif immémorial).

A sa fréquence (peut-être la fréquence de Planck), il pulse et est donc parcouru de son centre à sa périphérie par des ondes qui, atteignant sa surface, se réfléchissent et engendrent des ondes secondaires : des vagues surfaciques qui se propagent dans cette couche à trois dimensions (l'univers prématériel comme surface du "patatoïde" rempli de ce l'on appelle "énergie noire").

 

Ces ondes, à la surface irrégulière du "patatoïde", interfèrent entre elles et produisent des figures d'interférence qui vont mailler la surface du Réel; c'est l'ancêtre des filaments intergalactiques où l'activité bosonique est nettement supérieure au reste de la surface prématérielle ; elles seront susceptibles, donc, selon les conditions, de faire émerger des "filaments" matériels entre les galaxies ainsi reliées en amas galactiques.

 

Ces filaments pré-galactiques se croisent en de nombreux points du maillage universel et cumulent, là, leurs activités bosoniques accroissant, d'autant, la probabilité d'émergence d'un noyau galactique (un conglomérat de ce que certains appellent "matière noire" comme agglutination d'une "énergie noire" bosonique en voie de matérialisation, avec apparition de pseudo-grumeaux prématériels mais quasi-matériels dont les durées de vie sont infimes - ce sont eux qu'étudie, sans le savoir, la physique dite des "particules élémentaire").

 

Ces noyaux pré-galactiques à très haute activité bosonique, moyennant certaines conditions (quantité et intensité d'énergie noire très active), vont se transformer en réacteurs protéiques et, ainsi, faire émerger des geysers de matière primitive qui, en s'agglutinant autour du noyau galactique, vont, peu à peu, faire jouer une caractéristique qui leur est propre : la gravitation. Ainsi, ce nuage de protéus, prisonnier de son propre champ gravifique, va englober le noyau central de "matière noire" et s'organiser sous le double effet de la gravitation et de la rotation uniaxiale, pour donner les galaxies telles que nous les connaissons.

 

Dans ces galaxies primitives, les processus que l'astrophysique connait bien, pourront, peu-à-peu, engendrer et structurer des nuages d'étoiles qui, sous la pression gravitationnelle, deviendront, à leur tour, des réacteurs nucléaires fabricants d'atomes mono- et pluriprotéiques. C'est la nucléosynthèse.

 

Par un processus similaire, les nuages de matière éjectées par les étoiles, commenceront à s'organiser sous pression gravifique, pour former des planètes (des réacteurs chimiques produisant des molécules de plus en plus lourdes et complexes). Et ainsi de suite … selon les schémas connus de l'astrophysique, de la chimie et, ensuite de la biologie.

 

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